LIGNE DE FRONT 98

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+ Stalingrad - La Bataille du Silo à Grain

50 "diables" tiennent en échac 3 divisions allemandes

Ce que l’on appelle communément la « bataille de Stalingrad » en regroupe en réalité plusieurs en une. La ville, peu profonde, mais très étendue dans sa longueur, adossée à la Volga, présente en effet différents aspects, différentes zones distinctes dans leur agencement, comme dans l’environnement auxquels les combattants vont être confrontés. Or, si les affrontements au nord, avec les différentes usines (« Barricades », « Dzerjinski » ou encore « Octobre rouge »), et au centre, avec la colline Kourgan Mamaïev et la gare centrale, sont bien connus, la bataille qui se déroule au sud l’est souvent moins. Pourtant, elle représente à bien des égards un condensé de la bataille de Stalingrad dans son ensemble, autant qu’une bataille à part : isolés du reste de la ville par le lit de la Tsaritsa, les quartiers résidentiels du sud de Stalingrad, dont la conquête est confiée initialement aux unités de la 4. Panzer Armee, vont être un défi pour la Wehrmacht. C’est autour de la gare n°2 mais, surtout, du silo à grain que va se jouer la bataille mémorable de la pointe sud de la ville de Staline. Ainsi, durant une semaine, une cinquantaine de soldats soviétiques vont tenir tête à trois divisions allemandes, dont une Panzer.

+ La bataille de Garfagnana

Cadeau de Noël de l’Axe pour la 92th Inf. Div.

Fin 1944, sur un front italien devenu certes secondaire, les forces alliées s’épuisent toujours contre les forces de l’Axe qui résistent farouchement le long de la Ligne « Gothique ». Connue des Allemands sous le nom d’opération « Wintergewitter », « tempête d’hiver », et surnommée « l’offensive de Noël » par les Italiens, la bataille de Garfagnana constitue l’un des tout derniers succès tactiques de l’Axe sur le front italien, certes très limité, avant l’écroulement final du printemps 1945. Un succès dû tout autant à la détermination d’unités fascistes motivées qu’à l’indécision alliée.

+ Waffen-SS en Pologne et en France

Troupe d’élite ou unité suicide ?

Au cours de la Seconde Guerre mondiale et longtemps après, l’image d’un corps d’élite constitué de soldats professionnels et fanatisés a collé à la peau de la Waffen-SS. La propagande de Goebbels, largement poussée par les responsables de la « SS en arme », a été le principal vecteur de cette image, tout comme les nombreux écrits d’après-guerre, qui se nourrissaient à la fois de cette vision fabriquée, mais aussi des mémoires des combattants de tous bords. Cette représentation perdure encore parfois, malgré le fait que, depuis plus de quinze ans, des historiens tentent d’écorner cette vision ou, au moins, de la relativiser. Celle-ci a été patiemment forgée depuis les premiers pas des unités SS militarisés, par des officiers comme Paul Hausser, Josef Dietrich et autres Theodor Eick. Mais cette image de corps d’élite cache des débuts difficiles et une réalité sur le terrain qui tranche avec les aspirations des hiérarques de la Waffen-SS. Affichant une volonté presque insolente d’être le « fer de lance » de l’armée allemande durant les premières campagnes militaires menées par le III. Reich, les unités variées de la Waffen-SS vont faire pourtant montre d’une prestation mitigée. Lors de la campagne de Pologne en septembre 1939 et de France de mai-juin 1940, se posera la question, jusque dans les états-majors du Heer, de savoir si les Waffen-SS sont des unités d’élite, ou des unités suicide.

+ Gebirgstruppen

Équipements et spécificités de l’élite de la Heer

+ AT-3 « Sagger »

David contre Goliath dans le Sinaï

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L’armée ukrainienne face à l’invasion russe

 

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